Associations, fondations, groupements… Les fédérations d’établissements liés à la santé ne manquent pas en France. Dans ce labyrinthe d’acronymes et d’institutions, l’ANdEP occupe une place bien particulière, qui lui confère sa spécificité.

Tout d’abord, c’est une association de personnes, et non d’établissements, comme d’autres associations.

Ensuite, l’ANdEP accueille sans distinction les Directeurs des instituts, ou exerçant dans un département universitaire publics, privés non lucratifs aussi bien que privés lucratifs, ainsi que les différentes filières du paramédical : kinésithérapeutes, ergothérapeutes, infirmiers, aides-soignants, etc.

Enfin, l’association se concentre en priorité sur la fonction et sur les missions plutôt que sur les statuts, même si ceux-ci restent un objectif.

Ses engagements prioritaires: le travail, le quotidien, les enjeux de terrain, les évolutions, avec une volonté d’ouverture.

Ils sont 17 membres, en place depuis le 27 novembre 2017.

Au sein du CA, six membres constituent le bureau. Leurs rôles : préparer les réunions et générer les propositions qui doivent être soumises au vote du CA.

Ces six membres sont :

  • Florence Girard, présidente,
  • Jean-Marie Louchet, vice-président
  • Jean-Luc Hercé, secrétaire
  • Catherine Muller, secrétaire adjointe
  • Elisabeth Wisniewski, trésorière
  • Evelyne Terrat, trésorière adjointe

Voir l’organigramme de l’ANdEP

 

Manipulateurs radiologie

La réingénierie des formations paramédicales est au cœur des combats de l’ANdEP.

L’association a participé activement à l’écriture des référentiels de formation des infirmiers et des manipulateurs en électroradiologie, des kinésithérapeutes et des pédicures-podologues.

Désormais le regard de l’ANdEP est tourné vers les IBODEs (infirmiers de bloc-opératoire), les infirmières puéricultrices et les aides-soignants. Pour ces professionnels, l’association s’active, au sein de groupes de travail, pour la refondation et l’universitarisation des formations, mais également pour le suivi de l’application des arrêtés.

La prochaine cible de l’ANdEP : les orthophonistes qui sont déjà à l’université mais que l’association connait peu.

L’ANdEP est partenaire de ce colloque qui aura lieu les 4, 5 et 6 avril 2018 à l’Université de Caen-Normandie

Renseignement et inscriptions: http://sofrasims2018.fr/

 

 

 

Paris le 10 janvier 2018

 

Chers adhérents,

Suite au courrier adressé au ministère conjointement par le CEEPAME et l’ANdEP, en date du 06 décembre 2017, et  n’ayant pas de réponse, nous avons pris attache avec le ministère ce jour.

Pour rappel, ce courrier répertoriait les questions posées par les directeurs des écoles de puéricultrices relatives à la rentrée des puéricultrices 2018, à savoir la perspective de mise en place effective d’un nouveau référentiel, la durée de la formation, l’organisation des stages, les perspectives de financement si passage en 4 semestres. Lire la suite

Deux jours de colloque, 140 participants, plus de 20 intervenants… Les Journées d’Étude 2017 de l’ANdEP se sont déroulées sous le signe du rassemblement, de l’échange, et de la mobilisation.

Les 27 et 28 novembre 2017 se tenait, à Paris, la vingtième édition de ces Journées d’Étude – l’occasion pour les adhérents à l’ANdEP et les acteurs du monde paramédical de se rencontrer, d’échanger, ainsi que d’écouter des intervenants évoquer l’avenir de ce secteur d’activité. Parmi les thèmes abordés, un point central s’est dégagé : le rapprochement entre les instituts de formation aux métiers de la santé et les universités, sur un territoire. Lire la suite

Vous avez été nombreux à répondre, au lendemain des Journées d’Étude 2017, au questionnaire de satisfaction que vous a soumis l’ANdEP.

Des réponses plutôt positives, puisque les points névralgiques des ces deux jours – les interventions et les échanges, ont été globalement appréciés. «Des intervenants variés et de grande qualité» et «des échanges riches» sont en effet les retours les plus fréquents. Furent toutefois regrettés «le départ anticipé et l’arrivée tardive de certains, n’ayant pas permis l’échange». Des bémols qui montrent la volonté d’interaction des participants à cette vingtième édition des Journées d’Étude.

Vous n’avez pas été avares de suggestions concernant les prochaines éditions de ces colloques, notamment autour d’une thématique qui nous inspire tous : l’universitarisation.

«Former les étudiants en santé à la prévention et la promotion de la santé dans tous les milieux.» C’est ainsi que la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, définit le Service sanitaire.

A partir de septembre 2018, tous les étudiants en santé devront effectuer cette mission de trois mois «dans les écoles, les entreprises, pour des actions de prévention.» Entérinée en juillet 2017, l’intégration de ce service aux études en santé fait consensus chez les différents acteurs du secteur : «il vaut mieux prévenir que guérir», rappelle la Fédération nationale des étudiants infirmiers.

Le service sanitaire sera donc «un composant obligatoire […] permettant d’attester de l’acquisition de compétences», comme l’indique Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur.

Soyez toutefois rassurés : le service sera intégré aux référentiels de formations et ne constituera pas un temps d’études supplémentaire.

Le 3 janvier, les étudiants de la promotion «directeurs des soins» 2018 de l’Ecole des hautes Etudes en Santé publique (EHESP) ont débuté leur cursus.

Parmi les 500 étudiants de cette nouvelle promotion, 50 ont choisi les chemins qui doivent les mener à la tête d’un établissement paramédical ou de formation aux métiers de la santé.

Des cursus encouragés par l’ANdEP, qui espère voir s’élargir la grande famille des directeurs d’établissements paramédicaux.