Voici le communiqué co-signé par L’Andep , Oni, Afds, Anfiide, Collége Infirmier Français, Académie des Sciences Infimieres, Cefiec, Cni, Fnesi, Snies
(cliquez pour télécharger le pdf )
Voici le communiqué co-signé par L’Andep , Oni, Afds, Anfiide, Collége Infirmier Français, Académie des Sciences Infimieres, Cefiec, Cni, Fnesi, Snies
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Elaborée en concertation avec ses partenaires associatifs, la FHF va diffuser dans ses établissements une charte de 9 engagements destinés à améliorer durablement la qualité de vie aux travail « QVT » des stagiaires paramédicaux.
Dans son communiqué, Frédéric Valletoux précise quel la FHF « entend contribuer activement au déploiement des compétences des professionnels paramédicaux ».
Les points abordés par cette charte :
Décret n° 2018-226 du 30 mars 2018 modifiant certaines dispositions relatives à la nouvelle bonification indiciaire de certains personnels de la fonction publique hospitalière.
Lire le décret n°2018-226 dans son intégralité
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Sur la base du constat de difficultés importantes, émanant à la fois d’enquêtes des associations étudiantes, et de la littérature internationale, Agnès Buzyn et Frédérique Vidal, ont confié une mission au Dr Donata Marra, qui depuis 2016 préside et anime le BIPE (Bureau Interface Professeurs Étudiants) de l’Université Paris 6. Le BIPE est une structure qui accompagne les étudiants pendant leurs études de médecine et, si besoin, les évalue et les oriente vers des structures d’aides qui contribuent à l’épanouissement de ces futurs soignants dans leurs études.
L’analyse et les propositions du rapport du Dr Marra ont permis d’élaborer 15 engagements.
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Ces trois responsables devront construire une feuille de route opérationnelle favorisant une plus grande homogénéité des formations, une meilleure coopération entre les différents métiers de la santé, des conditions d’études favorables à l’épanouissement des étudiants… Les étudiants en santé seront par ailleurs également associés à cette réflexion. Le chantier sera étroitement lié avec celui de la transformation du travail et des métiers dans le secteur public hospitalier. Il constitue, en effet, l’un des cinq piliers de la Stratégie de transformation du système de santé annoncée par le Premier Ministre au centre hospitalier d’Eaubonne-Montmorency le 13 février dernier.
Petite liste à la Prévert : gouvernance des instituts, partenariats universitaires, admission dans les IFSI, évolution des métiers de formateur et de directeur, financement des instituts, service sanitaire, réingénieries en cours et celles à venir…(un jour), évolutions des métiers .. . Ajoutons à cela la gestion quotidienne des instituts qui nécessite d’ échanger sur nos différentes pratiques.
Les suites qui vont être données au bilan intermédiaire de la mission « Le Bouler », notamment la question de l’admission en institut a également animé nos débats. Le timing inquiète . Alors que depuis dix ans l’universitarisation occupe les esprits et avance à petits pas, nous avons aujourd’hui la sensation que tout se construit en « accéléré ». La sollicitation des acteurs du monde associatif est importante et même si nous ne regrettons pas cette invitation à participer à la formation des professionnels de demain (bien au contraire nous en sommes demandeurs), elle nous demande beaucoup de disponibilités…qui plus est dans un contexte de grèves des trains.
De bon augure pour nos prochaines journées d’études qui se dérouleront les 4 et 5 décembre à la FIAP, rue Cabanis, Paris.
Cela faisait dix ans que le projet avançait doucement, la démarche visant à intégrer les formations paramédicales aux UFRs est de nouveau en cours. Un comité de suivi du processus vient d’être mis en place par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn et la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Frédérique Vidal.
L’universitarisation est une démarche complexe. Nombreuses sont les parties prenantes et les étapes à suivre, pour un processus qui doit se faire «à petits pas», selon les mots des ministres.
Des recommandations qui font écho aux récentes évolutions des formations paramédicales, telles que la pratique avancée des infirmiers (qui doit s’ouvrir à la rentrée 2018) et la création du service sanitaire.
Si le rapprochement entre universités et formations aux métiers de santé semble entériné, un certain nombre de points clefs restent à définir. Parmi les questions les plus fréquemment soulevées, celle du concours infirmier doit trouver éclaircissement. Les acteurs du secteur paramédical restent attachés à une épreuve d’admission mais cette réforme pourrait marquer la fin du concours infirmier, qui serait remplacé – si sont suivies les recommandations de Stéphane Le Bouler – par un oral «de motivation».
La méthode d’admission doit par conséquent constituer un des premiers éléments de réflexion pour le groupe de travail. Pour les partisans de ce changement, cela présenterait deux avantages : l’uniformisation (et donc la simplification) des modalités d’admission (aujourd’hui laissées à la discrétion des IFSI) et une plus grande visibilité pour les lycéens souhaitant se diriger vers ces filières pour leurs études supérieures. Les formations paramédicales seraient en effet intégrées à Parcoursup.
Outre les modalités d’admission, un autre sujet d’inquiétude – moins éclairé par le rapport – parcourt les rangs des acteurs du secteur paramédical. Il s’agit de la question des doublons : en intégrant les instituts de formation aux universités, il est vraisemblable qu’un certain nombre de postes, notamment parmi les directeurs et les enseignants, sera doublé. Cet état de fait pourrait-il ouvrir la voie à des suppressions de postes ? Les députés Jean-Carles Grelier et Annie Chapelier, chargés du groupe d’étude de l’Assemblée nationale sur les professions paramédicales, doivent se pencher sur cette question.
Plusieurs étapes doivent encore marquer ce processus d’universitarisation. Des questions sont encore en suspends et la concertation entre les acteurs du secteur paramédical et les ministères de la Santé et de l’Enseignement supérieur doit apporter des éclaircissements. Le calendrier est toutefois d’ores et déjà fixé avec une application complète de la réforme au plus tard en 2019.
L’objectif : parvenir à un consensus autour du décret sur le service sanitaire. Les syndicats avaient émis un avis négatif lors de la première concertation en décembre 2017. Cette fois-ci, le résultat des votes était positif.
Pour le ministère des Solidarités et de la Santé, l’objectif est clair : mettre en place le service sanitaire dès 2018.
Les deux élus se sont tous les deux montrés favorables au processus d’universitarisation – et au calendrier qui l’accompagne. Si leurs analyses convergeaient, M. Grelier a toutefois expliqué que, selon lui, la structure universitaire la plus adaptée était l’IUT. Les Instituts universitaires de technologie pourraient en effet devenir le point de chute des IFSI, une fois la démarche d’universitarisation complétée. D’autres rencontres sont prévues, démontrant l’intérêt des idées portées par l’ANdEP.
L’association Nationale des Directeurs d’Ecoles Paramédicales est une association, fondée en 1997, régie par la loi sur les associations de 1901. Elle regroupe des directeurs issus du secteur public et du secteur privé.
Elle a pour finalité de promouvoir la fonction de directeur d’école paramédicale et de pousser le statut de directeur des soins de la fonction publique hospitalière.
N° de déclaration d’activité : 75190092119
N° SIRET : 539 715 409 00014
Certificat qualiopi (au titre des actions de formation) :
N° QUA21120026 du 28/02/2025 au 27/02/2028
Sous réserve de l’audit de surveillance.
IFSI du Centre Hospitalier de Haute-Corrèze
2 Avenue du Dr Roullet
19200 USSEL
Tel : 06 83 20 28 16
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